Il n’y a rien de spécial à faire avec les sensations, les pensées, les émotions.
Pouvons-nous simplement dire oui à tout ce qui se présente à nous ?
Pouvons-nous permettre à chaque instant d’être simplement tel qu’il est ?
La fin de la souffrance ne se situe pas dans un arrêt dans un temps futur plus ou moins long.
L’arrêt de la souffrance est au coeur même de la souffrance, dans un grand Oui avec ce qui se présente à nous.
Alors, dans ce grand oui la détente peut se produire.
Alors dans ce grand Oui demeure une sensation corporelle légère.
Alors dans ce grand Oui, il est perçu que la souffrance de départ n’est plus « douloureuse », « souffrante ».
Certes elle demeure ET la particularité est qu’elle a été épousée.
Elle a perdu son pouvoir de « fascination ».
Il n’en reste rien,
juste une transparence.
A cet Instant il y a Un sans deux.
Ce qui Est.
La beauté même